« Les trois urbexeurs bondirent vers l’extérieur. Adèle les imita. Alexandra était la plus leste. Elle sautait par-dessus les obstacles et les guida sans hésitation vers la brèche empruntée à leur arrivée. Elle disposait d’un remarquable sens de l’orientation ou d’une belle intuition. Les deux peut-être. Ils enjambèrent des tas de cailloux. Derrière eux, le chien jappait de plus belle et Adèle sentait son coeur battre à s’en exploser la poitrine ».
Adèle, auteure de polars en quête d’informations sur le monde un peu secret de l’urbex, fait la rencontre d’Alexandra, Yanis et Thibault. Le jeune trio va très vite l’entraîner en exploration. À la découverte de friches industrielles, de demeures abandonnées, ils vont s’émerveiller ensemble des vestiges de ces existences oubliées… mais attention, il n’est parfois pas sans conséquence de passer le seuil !
D’un foyer à l’autre, de tensions familiales en cyberharcèlement, chacun devra puiser au plus profond de soi pour triompher de moments dramatiques…
Ce roman policier est avant tout une véritable chronique sociale menée sans temps mort et riche de rebondissements.
Né le 27 février 1972 dans le Cotentin, François- Michel DUPONT est Conseiller Principal d’Education au sein de l’équipe du Collège Lycée Expérimental à Hérouville Saint-Clair (Calvados).
Passionné par toutes les questions liées à l’éducation, il a choisi cette carrière qui lui permet d’assurer le suivi des élèves, tout en favorisant une dynamique de projet : ouverture à l’international (Belgique, Norvège, Italie...), au
monde professionnel et associatif... Il a enseigné également le français en tant que langue étrangère au Carré International, à l’Université de Caen.
Le vélo, formidable moyen de locomotion est aussi un remède efficace contre l’obésité, les maladies cardiovasculaires, les problèmes respiratoires, la dépression. Il ralentit le vieillissement et permet de garder une certaine souplesse articulaire et, c’est prouvé scientifiquement, stimule l’activité cérébrale.
Dans ce recueil de nouvelles, vibrant hommage à la pratique de la bicyclette, l’auteur raconte avec passion et humour, ses nombreuses randonnées à travers toute la France, pays dont la diversité des paysages n’a d’égale
que leur beauté, agrémenté de monuments remarquables et berceau d’artistes et d’écrivains célèbres.
Cyclistes, cyclotouristes, randonneurs à pied ou à vélo, touristes, penseurs, humanistes et philosophes, amoureux de la nature ne seront pas insensibles à toutes les émotions qui traversent la tête d’un voyageur à bicyclette.
Après l’école rend libre, ouvrage sur l’éducation et Carentan d’espoirs, étude politique d’une gestion municipale,
voici Le vélo un art de vie qui achève la trilogie : Éducation, Démocratie, Épicurisme.
Ordonnance du médecin : le soir, avant d’aller se coucher, lire un ou deux chapitres. Cela aura pour effet de vous
apaiser, de trouver facilement le sommeil et de faire de beaux rêves.
« Mais que fais-tu ici ? » se demanda-t-il.
« Quel plaisir prends-tu à te geler dans l’Atlantique nord ? »
Jacques baissa la tête. Quinze mètres plus bas, les vagues hurlaient contre la coque.
« Tu pourrais jouir d’une douce chaleur dans ton appartement. Tu pourrais te laisser porter par la paisible incertitude des choses. Tu pourrais subsister sans les surprises désagréables de la vie à bord. »
L’écrivain Jacques Perrot accomplit un rêve de gosse : traverser l’Atlantique sur un cargo. À bord il rencontre un passager qui va lui inspirer le personnage principal de son prochain roman.
Mais la vie, comme toujours, réserve de multiples rebondissements : l’océan se déchaîne, les hommes sur le bateau également ! Comment vivre avec ses semblables dans un espace aussi réduit ?
Arrivé à bon port, il se confronte à la réalité du quotidien, mais n’est pas au bout de ses surprises...
Dans ce nouveau livre d’Alain Bron, on retrouve un suspense savamment distillé, un irrésistible sens de l’humour et un humanisme à toute épreuve qui font de « Au creux de la vague » un roman passionnant.
Lauréat de la Bourse de l’Aventure à l’âge de seize ans, Alain Bron part seul au Sahara et en revient riche d’expériences qui marqueront toute sa vie littéraire et professionnelle.
Plus tard, il se passionnera pour la psychosociologie d’entreprise. Alain Bron a publié des essais, des nouvelles,
des polars et des romans primés à plusieurs reprises. Il dirige par ailleurs L’Art en chemin dans l’Oise et préside une compagnie théâtrale. Il est membre de la Société des Gens De Lettres et des Écrivains des Hauts-de-France.
Pendant ce temps, deux officiers casqués, protégés par des visières et des gilets pareballes, prirent position devant l’entrée. Un troisième, armé de grandes cisailles, s’attaqua aux chaînes qui fermaient l’accès.
— Que se passe-t-il ? demanda Haifeng, brandissant sa carte de la PJ devant un sergent de première classe.
— Au moins deux cents émeutiers se sont retranchés à l’intérieur. Ils ont pris le proviseur en otage.
— J’ai du mal à le croire. Qui sont-ils ?
— Des parents d’élèves !
Tout a basculé pour l’inspecteur principal Haifeng à la PJ de Nankin.
Avec son vieux patron en soins palliatifs et son partenaire muté à Tianjin, il a l’impression d’avoir perdu à la fois père et fils. L’arrivée d’un nouveau supérieur ambitieux qui le prive brutalement de toute enquête ne fait qu’aggraver sa situation.
Incapable de fermer les yeux sur une inquiétante série de crimes impliquantdes jeunes, pour lesquels aucune plainte n’a été déposée, Haifeng, épaulé par une jeune officière novice, se lance discrètement dans une enquête au coeur du système scolaire chinois, risquant ainsi de compromettre toute sa carrière.
Dans ce tableau d’une Chine urbaine, ultramoderne et connectée, les thèmes millénaires du passage des générations et des transformations sont omniprésents.
Martin Long,
franco-britannique, écrit depuis une vingtaine d’années, explorant des genres et des univers divers : romans policiers, livres de jeunesse et nouvelles.
Parlant chinois, il se rend régulièrement en Chine, passant de région en région à la recherche de récits qui sortent des sentiers battus. C’est ainsi qu’il a produit la série « L’Inspecteur Tian Haifeng », un policier atypique qui amène le lecteur à la rencontre d’une Chine méconnue, loin des clichés et des idées reçues. « Dans mon écriture, je cherche ce qui est dissimulé, ce qui me surprend et ce qui me captive. Chacun de mes livres est le fruit de cette passion ».
1er roman
— C’est à toi d’écrire ton propre film, ma Pimprenelle, les autres sont déjà écrits. L’amour échappe à tout contrôle, crois-moi. Parfois il part alors qu’on ne s’y attendait pas et il revient alors qu’on s’y attendait encore moins ! Ce sera peutêtre dans un supermarché, à un péage, dans un zoo, va savoir ! Peut-être qu’il va t’assommer avec une balle de golf, te dire discrètement que ta jupe est coincée dans ton collant ou t’aider à remettre le dérailleur de ton vélo ? Laisse une chance au destin. Tu es à un moment pivot de ta vie. Saisis cette opportunité. Mais ne me ramène pas un petit crétin comme le dernier, c’est tout ce que je te demande !
C’est aujourd’hui. C’est à Versailles. Mais c’est aussi un peu à Paris. Et un peu hier. C’est l’histoire de Mathilde, larguée dans tous les sens du terme, de Marie-Pierre, un peu dans les choux elle aussi, sans oublier Félicité et ses chaussons-licornes, Mamie Linotte et sa barrette étoilée, et le gros vilain Hugo dont la maniaquerie n’est pas le seul défaut. Ajoutons à cela une soeur vaguement agaçante, des parents à l’ouest, des collections de pin’s et de koalas, et vous aurez tous les ingrédients d’une recette de vie improvisée, avec juste ce qu’il faut d’éclats de cartilages de crabe et de pépins de poivron pour pimenter au mieux cette cuisine du coeur.
Sabine de Mars est née le 14 mai 1972 à Chartres.
Après une licence en Langues Étrangères Appliquées, elle intègre l’Institut Supérieur d’Interprétation et de Traduction de Paris.
Elle commence une carrière de traductrice en agence, avant de s’adonner aux sous-titrages d’émissions télévisées pour une société de production.
Elle vit ensuite deux ans aux États-Unis, puis revient en France où elle passe le CAPES d’anglais, avant de se rendre compte que c’est bien sa langue maternelle qu’elle préfère.
Enseignante depuis vingt ans et maman de deux enfants, elle réside actuellement à Versailles.