Nous sommes au XIV e siècle où Cour et Clergé se trouvent souvent mêlés aux affaires du royaume…
La reine Jeanne de Naples, mariée très jeune à un hongrois (devenu André 1er de Naples), décide avec ses courtisans d’éliminer cet intrus dans le milieu napolitain. Après l’assassinat, les coupables doivent détourner les soupçons et surtout trouver
un meurtrier potentiel ! Leur dévolu tombe sur Giacomo Corvetta médecin de la Reine qui, prévenu par son entourage, fuit rapidement. Celui-ci arrivera t-il réellement à s’échapper et à prouver son innocence ? Le bateau, sur lequel il se trouve contraint d’embarquer, permettra t-il son évasion sans rencontre indésirable ? À la demande conjointe pressante du Pape et du peuple, une enquête sera menée et devra aboutir à la condamnation d’un meurtrier. Les grands du royaume devant être innocentés, un deuxième coupable va aussi être désigné… Ce roman historique, basé sur des faits réels ayant marqué le règne de la reine Jeanne de Naples, montre tout l’existence de véritables loups sanguinaires et, met également en exergue la lâcheté des hommes, leur immoralité, la crainte les gouvernant, empêchant ainsi de faire le jour sur la réalité des évènements. Aventure et intrigue sont au rendez-vous tout au long d’un récit mené tambour battant !
Joëlle DELANGE,
D’Arles qui la vit naître, à Draguignan où elle réside aujourd’hui, le parcours de Joëlle Delange témoigne d’un solide enracinement en terre provençale. Un pays qui sait bien que le coeur n’est pas un muscle, mais bien le soleil qui éclaire et réchauffe notre humanité. Joëlle Delange est romancière. Fervente amie de nos amies les bêtes, elle déteste la corrida et n’hésite pas à planter ses banderilles sur tous ceux qui maltraitent la nature et ses hôtes.
Après deux premiers romans remarqués ; (New York, le jeudi rouge et L’Or des teinturiers), elle s’est tournée en parallèle vers les enfants avec notamment « La robe de Sophie ». Puis elle a poursuivi l’écriture romanesque avec la sulfureuse reine Jeanne de Naples et sa cour qu’elle décortique dans « Meurtres à Naples ». Elle signe en quelque sorte aujourd’hui un second volet de cette histoire napolitaine avec « La régicide ».